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NWAC recognizes the National Day of Remembrance and Action on Violence Against Women

by ecnationtalk on December 6, 20121736 Views

 

PRESS RELEASE: FOR IMMEDIATE RELEASE 

NWAC recognizes the National Day of Remembrance and Action on Violence Against Women 

Ottawa, ON (December 6, 2012) – NWAC recognizes the National Day of Remembrance and Action on Violence Against Women, and is honoured to participate in activities that mark the 23rd anniversary of the murders of fourteen young women at l’École Polytechnique de Montréal.  

“We still mourn the young women who were lost to this senseless violence, and I am very concerned for our safety and security regardless of where we live,” said Michèle Audette, President of the Native Women’s Association of Canada. “Our leaders need to put in place concerted measures to protect our women and young girls. The provinces and territories must support the call for a national public inquiry and work towards a national framework of action as soon as possible. And Canada has to change their attitude toward our stolen sisters!” 

NWAC has documented over 600 occurrences of missing and murdered Aboriginal women and girls in Canada. Sadly, we continue to add names to our record of those lost to violence. NWAC’s Evidence to Action initiative works with Aboriginal families and communities who have been affected by violence, to raise awareness of the crisis and to develop tools that will assist those who have lost a loved one to violence. 

The intergenerational impacts of colonization and residential schools combine with systemic barriers linked to gender and Aboriginal status to increase Aboriginal women’s vulnerability to experiencing violence. Aboriginal women are 3.5 times more likely to experience violence, and eight times more likely to be the victim of spousal homicide than non-Aboriginal women. Aboriginal women continue to be the most at-risk group in Canada for issues related to violence. 

– 30-  

For additional information please contact: 

Claudette Dumont-Smith,
NWAC Executive Director
Toll Free:  1-800-461-4043
Tel.: 613-722-3033 ext. 223
Email: cdumontsmith@nwac.ca

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COMMUNIQUÉ : PUBLICATION IMMÉDIATE 

L’AFAC reconnaît la Journée nationale de commémoration et d’action
contre la violence faite aux femmes
 

Ottawa (Ontario), le 6 décembre 2012 – L’AFAC reconnaît la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes et est honorée de participer aux activités qui marquent le 23e anniversaire du meurtre de quatorze jeunes femmes à l’École polytechnique de Montréal. 

« Nous pleurons encore les jeunes femmes perdues à cause de cette violence insensée, et je suis très inquiète pour notre sécurité, où que nous vivions », a dit Michèle Audette, présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada. « Nos dirigeants doivent mettre en place des mesures concertées pour protéger nos femmes et nos jeunes filles. Les provinces et les territoires doivent appuyer la demande d’une enquête publique nationale et travailler à l’établissement d’un cadre national d’action au plus tôt. Et le Canada doit changer d’attitude envers nos sœurs dont on a volé la vie! » 

L’AFAC a documenté plus de 600 cas de femmes et de filles autochtones disparues ou assassinées au Canada. Malheureusement, nous continuons d’ajouter des noms au dossier de celles que nous avons perdues à cause de la violence. L’initiative de l’AFAC « De la preuve à l’action » travaille avec les familles et les communautés autochtones qui ont été touchées par la violence, pour faire œuvre de sensibilisation et élaborer des outils qui aideront ceux et celles qui ont perdu un être cher à cause de la violence. 

Les répercussions intergénérationnelles de la colonisation et des pensionnats indiens s’ajoutent aux obstacles systémiques liés au genre et au statut autochtone pour rendre les femmes autochtones plus vulnérables à la violence. Pour les femmes autochtones, la probabilité est 3 fois et demie plus grande que pour les femmes non autochtones de faire l’expérience de la violence, et il est huit fois plus probable qu’elles deviennent victimes d’homicide conjugal. Les femmes autochtones demeurent le groupe le plus à risque au Canada pour les problèmes liés à la violence.  

– 30- 

Pour obtenir plus d’information : 

Claudette Dumont-Smith, NWAC directrice générale
Téléphone: 613-722-3044, poste 223
Sans frais: 1-800-461-4043
Courriel: cdumontsmith@nwac.ca
Site Web: www.nwac.ca

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